Voyage à Nice ou le cube de l’illusion
« Le monde, la réalité où nous vivons, nous dit Michelangelo Antonioni, sont invisibles et l’on doit donc se contenter de ce que l’on voit. »
Comme si cet espace étranger l’appelait, l’attirait :
Le bruit fondamental du feuillage :
Le bruit fondamental du feuillage reste dominant :
Tout va basculer avec l’entrée en scène des mimes. Thomas va d’abord observer la partie de tennis imaginaire. Le bruit fondamental du feuillage reste dominant :
Cube de l’illusion :
Nice, janvier 2009
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